Pink trottinée derrière moi.
Elle avait sans doute compris ou je me dirigée.
Elle était tellement pressée dit arriver qu’elle me donnée des petits coups gentil avec sa tête.
Ce qui me fit exploser de rire.
On arriva enfin au pré.
Je la lâcha et elle partit directe au galop, on aurait dis une pouliche.
Elle enchainait les ruades, les sauts de montons et elle se cabré de toute ca hauteur.
Elle était magnifique, qui aurait crue qu'elle était dressée, elle paraissait si sauvage et fougueuse.
Je m'installa à la barrière et la regarda ce défoulais.
Enfin une heure plus tard quand elle eu fini sont galop fou et s'arrêta brusquement et commença à brouter.
Je l'appela en élevant la voie pour qu'elle m’entende.
Elle releva la tête, me regarda pendant qu'un petit vent frais joué dans ca crinière.
Elle fit un pas puis deux et fini par venir au galop.
Elle s'arrêta devant moi.
Il y avait encore de la méfiance dans ces yeux mais moins.
Je sortis un bout de carotte lui donna.
Elle le prix en délicatesse, et commença à le mâchouillé sans me quitté des yeux. Quand elle eu fini elle fit demis tour et reparti au milieu du pré ou l'herbe était sans doute plus tendre vue la couleur.
Je resta encore 10 minutes et partis.
Suite: le lendemain matin
Le lendemain je m’approchai du pré, où j'avais laissé Pink la veille.
Celle ci faisait sont activité favorite: Mangé.
Elle c'était ce roulé pendant la nuit.
Mais je l'avais pressentis et amené mes affaires de pansage.
Je m'approcha de la barrière, je ne s'avais pas si Pink viendrait d'elle même, ca ne faisait que 5 jours.
Alors je sortis de ma poche le bout de carotte et lui tendis en l'appelant.
Celle ci arriva au trot vers moi.
Je pus lui attaché la longe au licol qu'elle avait gardée toute la nuit, et me dirigea vers un anneau juste à côté.
Je commença par les sabots.
Muni d'un cure pied et de l'engluant.
Je me mis à la tache.
Quand j'eu n’étoilé en profondeur le sabot et qu'il ne resté plus un seul bout de terre, je prie l'engluant pour lui appliquer.
Elle fut éraillée de me voir arriver avec mon gros pot, mais elle sentit vite l'odeur du miel qui ci échappé et voulu le mangé.
Quand je pus enfin me concentrer sur ces sabots je l'étala bien sur la sole et la paroi.
Ses sabots brillés et une bonne odeur de miel flotté dans l'aire.
Je referma vite le pot et pris mon étrille.
J'enleva toute la terre qui avait séché pendant la nuit.
Le bouchon pour enlever toute la poussière et la brosse douce pour finir le travaille tout en lissant la robe.
Je prix le peigne et m'attaqua à la crinière et à la queue.
Je dus avoir besoin d'un démêlant pour en venir à bout.
A la fin sa robe luisait, comme ses sabots et ses crin était aussi lisse que je la soie.
J'aurais pus rester des heures à la contempler et caresser sa douce robe.
Mais on avait du pain sur la planche.
Je mis le filet noire avec muserolle croisé, et pensa à mettre la moumoute blanche. Je lui mis un tapis aussi noir que son filet.
Son protège dos en peau de mouton synthétique blanche comme la moumoute sur le filet.
Je lui déposa en toute délicatesse la selle spécial obstacle, et lui attacha les guêtres et lui passa deux cloches au antérieur.
Puis je l'a détacha et l'emmena au Manège.